dimanche 11 mars 2012

Introduction.

          Le Monde a connu beaucoup de catastrophes, mais une des pires qu'il lui est arrivé de subir, est bien la guerre. Nous avons décidées, de travailler sur une des plus grandes guerres du monde : la IIème Guerre Mondiale. Un homme, Hitler. 64 781 162 de morts, plus de 40% des Juifs du monde entier exterminer. Comment un seul homme est-il arrivé a créer cela ? Question bien vaste... Mais une facette de cette interrogation nous intéresses. En effet, nous avons voulus savoir si les Arts et la Littérature sont intervenues dans la quête de pouvoir d'Hitler. Nous en sommes donc venues a nous poser cette question : Peut-on dire que l'Art et la Littérature étaient au service du pouvoir totalitaire durant la période nazi ? Nous allons tenter de répondre à cette problématique en deux parties. La première évoquera l'Art Officiel du régime nazi, essayera de la qualifier, et présentera ses principales caractéristiques. La deuxième partie évoquera l'Art Dégénéré, en quoi consistent-elle, et pourquoi . Tout d'abord, commencons par une définition ...

Qu'est ce que l'Art Officiel ?

         Avant de continué notre reflexion, nous devont d'abord commencer par expliquer ce qu'est l'Art Officiel. L'Art Officiel, est observé lorsqu'un régime totalitaire est au pouvoir . Ici, pour le nazisme, Hitler veut tout diriger que dès le départ : il se mêle de l’esthétique et annonce dans son programme quel type d'art est bon, ou mauvais .
        L'Art Officiel nazi s'inspire clairement du Classicisme, et bannit toute forme de modernité qui viendrait à l'encontre de l'Académisme, ou des oeuvres Classique. Pour Hitler, il est important que la  culture Allemande soit prise en main, et que l'on arrête la décadence et la dégénérescence de certains mouvements. Cet Art Officiel, est très simple. Ici, il consiste à exalter, et a montrer que le peuple Allemand est le plus fort, le plus grand, et il faut que la population en soit convaincu grâce a ses production. Il montrait a l'Allemagne le chemin a suivre voulu par le régime, et les écarts a ne pas faire. Par exemples, les sculptures devaient être représentatives du peuple Allemands. C'est-à-dire parfaite : Corps athlétique, visage typique, presque comme des dieux de l'Antiquité, faisant donc référence au Classicisme. Pour la peinture, il en était de même. La peinture la plus célèbre a été créer par Adolf Wissel   en 1939  représente une famille Aryenne parfaite : enfant, donc femme fertile, homme fort, foyer équilibré etc. Bref; l'Art Officiel nazi était surtout, de la propagande rigide et Classique, il proclame haut et fort l'idéologie Nazi. 







(Adolf Wissel, "Famille fermière de Kalhenberg", 1939)




   (Sculpture de Arno Breker, 1939).

L'architecture et Hitler, un enjeu important.


   Un des premiers arts dont nous aimerions vous parler, est l'architecture. En effet, Hitler avait placé de grands espoirs dans la reconstruction de l'Allemange, mais tout d'abord, nous allons placer le contexte dans lequel se déroule l'histoire.  
        Après la première guerre Mondiale, l'Allemagne est ruinée, et ne peut rembourser la dette qu'elle doit au traité de Versailles, ce qui entraîne l'occupation de la Ruhr (région la plus industrielle d'Allemagne) par les Français. La monnaie Allemande s'effondre alors. En 1929 survient le « Crash de Wall Street » qui entraîne le retrait des capitaux U.S d’Allemagne. Une crise économique naît, très forte et très profonde. En 1932, le point maximum de la crise est atteint. Il y a environ 6 millions de chômeurs (33% de la population.) en Allemagne. De nombreuses petites entreprises font faillites.  Beaucoup de personnes sont sans revenu, et l'Allemagne est dans une position critique. S'en suit alors la monté de l'extrême droite, car le peuple Allemand recherche un parti capable de faire sortir l'Allemagne de la crise.  En 1932, il est au deuxième tour des élections présidentielles, et le 30 Janvier 1933, il sera nommé Chancelier par Hindenburg, président Allemand.
         Hitler décide alors de reconstruire l'Allemagne, afin de la voir sortir de la crise ,et de la ramener a un rang mondial important. Il engagea alors sont architecte préféré pour l'aider dans cette tâche, Albert Speer :

                                              .(Albert Speer, 1905-1981)
         Style architectural de Hitler : 

Hitler qualifia Paris de plus belle ville du Monde. C'est d'ailleurs pourquoi il souhaita la surpasser. Il avait en projet de reconstruire la grande avenue de Berlin, et celle-ci devait rappeller les Champs-Elysées de Paris ; Cette évocation fut confirmé par le fait que Hitler demanda a Speer que l'avenue de Berlin soit beaucoup plus grande que celle de Paris, et qu'un Arc de Triomphe y soit aussi érigé. De plus, Il était fasciné par la puissance architecturale des eglises, et trouvait son inspiration dans des monuments religieux, comme Saint Pierre de Rome. Mais ce qui marqua le plus son goût artistique, c'est bien  le monde de sa jeunesse. Il resta attaché au Néoclassicisme (1750-1830 environ), défini comme "style sévère", et par la Rome et l'art Antique. Il considérait les Romains comme l'un des grands empire Aryens. Ce qui définit surtout ces deux mouvement artistique, sont le sacrifice des couleurs pour la perfection de la Ligne. On préconise un retour a la vertu et a la simplicité de l'Antique. Un art ou tout est calculé, tout doit être droit, rectiligne régulier, et ou l'on respecte la perspective. C'est ainsi, grâce aux goûts très précis de Hitler et a l'aide de Speer, que les contruction lancées par le régime national-socialiste sont marqués par le "Gigantisme". Les motivations de cet utilisation du gigantisme relèvent d'une volonté politique bien précise : donner au peuple Allemand la conscience de sa valeur.  
              Nous avons pu trouvé la maquette de l'Avenue de Berlin que Hitler voulait reconstruire. Le but de ces grandes reconstruction qu'il voulait mettre en oeuvre, était de faire rentrer l'Allemagne dans l'Histoire. Cette maquette était appellés "Gesamtbauplan für die Reichshauptstadt." (plan d'ensemble pour la capitale) par le régime Nazi. La voici :

                                              Fichier:Bundesarchiv Bild 146III-373, Modell der Neugestaltung Berlins ("Germania").jpg




1= La halle du Peuple : Aurait été un bâtiments de rassemblement du peuple, symbolisant la communauté du peuple Allemand.
2= La grande Avenue, du rond point a l'Arc de Triomphe.
3= La gare Sud
4= Arc de triomphe. Cet Arc de Triomphe aurait été construit selon des plans inspirés par une esquisse dessinée par Hitler au milieu année 1920. Mais sa construction a été repoussé a plus tard en 1939 à cause du démarrage de la seconde guerre Mondiale, dans le but d'économiser des matériaux stratégiques.


   Vous pouvez bien retrouver les signes d'une architecture Néoclassique, gigantesque et Antique ; Regardez bien au premier plan, comme les bâtiments sembles grand par rapport au reste des constructions situé après l'arc de Triomphe. De plus, Vous pouvez observer la rectitude de cette maquette : Tout les quartiers sont quadrillés et régulier. On peut apercevoir une évolution depuis le plus grand bâtiments (premier plan) jusqu'au dôme au dernier plan. Mais voyons maintenant la perspective : Sur la photo nous avons ici tracer les lignes de perspective cavalière. Elles rejoignent toutes le même point, celui situé au dôme que l'on peut appercevoir a l'arrière plan . Ce schéma démontre donc que cette maquette a été conçue a partir de ces lignes droites, et qu'elle respectent donc la rectitude, la régularité imposé par le style néoclassique. 




       Avant de terminer cette étude architectural, un dernier point nous interesse. C'est le témoignage écrit que Albert Speer a laisser dans son livre, "Au coeur du troisième Reich". En effet, il va parler en tant que témoin proche de Hitler, et c'est très important cela nous a permis d'en apprendre plus sur le comportement et les espoirs que Hitler avait envers l'architecture. Il Dit : 
"Pour Hitler, l'architecture gigantesque de cette époque devait magnifier son oeuvre, sublimer la conscience qu'il avait de sa propore valeur. L'érection de ces monuments devait servir à annoncer ses prétentions au règne universel..."
"Il me déclara : nous allons fonder un grand empire, tous les peuples germaniques en feront partie. Il s'etendra de la Norvège a l'Italie du Nord, il faut que moi même je reste en bonne santé pour mener a bien cette entreprise."
"Hitler avait fait des dessins dans les années 20, et ce qui me stupéfia, moi Albert Speer l'architecte privée d'Hitler, ce fut moins le gigantisme de la conception que l'etonnante obsession qui l'avait poussé à concevoir des projets de monuments a une époque ou il n'avait pas le moindre espoir d'arriver un jour a les réaliser."
                                                                       
                                                                      Albert Speer, "Au coeur du Troisième Reich."





"Pourquoi bâtir toujours le plus grand possible ? Je le fait pour redonner à chaque Allemand particulier une confiance en soi. Pour dire à chaque individu en particulier: nous ne sommes pas inferieurs, nous somme au contraires absolument égaux aux autres peuples."


 Hitler, à ses ouvriers du bâtiment.



                                                     

Le Cinéma de Propagande.



 Hitler, et son chef de la propagande, Joseph Goebbels, ont utilisé toute sortes de procédés artistiques pour faire de la propagande : Le graphisme, la photo, la peinture etc... Mais le plus incroyable d'entre eux, est le cinéma. En effet, Hitler et Goebbels appréciaient tout particulièrement le cinéma, car il pensait que le potentiel du cinéma en tant que propagande étaient immense. C'est un moyen courant, pratique et quotidien de faire passer un message très net aux populations, et cela à marché relativement très bien marché...
     
 Présentation.


        Ce que nous allons présenter, est bien l'oeuvre cinématographique de propagande nazie la plus tristement célèbre : "Le Juif Süss" (Jud Süss en Allemand.) C'est Joseph Goebbels, chef de la propagande Nazie qui demande aux studios Allemands en 1938 de produire des films a des fins raciste et antisémite. C'est ainsi que naît le "Jud Süss", en 1940. Le scénario de ce film a été entièrement tiré d'un livre écrit par un Juif, Lion Feuchtwanger, et réadapté de manière antisémite et raciste par les Allemands. La réécriture du scénario a été attribué a Eberhard Wolfgang Moeller et a Veit Harlan. Ce film a été tourné et réalisé par Veit Harlan dans les studios de Babelsberg, sous la supervisions de Goebbels .


(Affiche officiel du film, "Le Juif Süss") 




(Eberhard Wolfgang Moeller , qui c'est occuper de la réecriture du scénario .1906-1972, voir fin du site.)


 (Veit Harlan, qui a réalisé le film. 1899-1964, voir fin du site.)




  (Joseph Goebbels , Chef de la propagande Nazi.1897-1945, voir fin du site.)


      
  Confrontation du Film et du texte original.




      Résumé du film sorti en 1940 :  
                L'histoire se déroule a Stuttgart, en 1733. Süss Oppenheimer devient le conseiller financier d'un petit duc, le duc de Wurtemberg. Lorsque des notables refusent au duc un prêt pour le financement d'un opéra, d'un ballet et d'une garde ducale, c'est Süss qui va avancer l'argent au Duc ( ==> mise en valeur du côté cupide du Juif). C'est ainsi que pour compenser ses dettes, le duc va le nommer à la direction des routes du duché et des péages. Süss décide alors de construire des routes, mais il va devoir éventrer la maison d'un forgeron nommé Bogner, et le fera pendre car il va s'opposer formellement a la destruction de sa demeure (==> mise en valeur du côté inhumain et méchant du Juif). De plus, Süss multiplie les conquête se multiplie : il va faire de la femme du duc, sa maîtresse, et va tomber amoureux de la jeune Dorothéa, fille de Sturm, le conseiller des Etats. Sa main lui sera refusée deux fois, jusqu’à ce que Süss la prenne de Force. Mais la malheureuse, par honte, ira se noyer dans les marais. C'est lors de la mort soudaine du duc, que la population se soulève, sous la direction de Faber, le fiancé de Dorothéa, Süss est alors arrêté, comdamné pour avoir abusé d'une jeune chrétienne, et pendu en place publique (==> mise en valeur du besoin d'humilié les juifs pour pouvoir les éradiqué). Alors, un nouveau décret interdit les juifs de vivre a Wurtemberg.


        Résumé du texte originel de Lion Feuchtwanger écrit en  :  
           Ce livre parle de la vie tragique de Joseph Süss Oppenheimer (1698-1738), le plus célèbre « Juif de cour » de son temps. Cet individu à l’intelligence redoutable se distinguera de sa communauté d’origine par son attitude de libre penseur impénitent. En 1732, après avoir travaillé notamment à Vienne et à Prague, il croise sa destinée en la personne du Prince  Karl-Alexander. Süss a tôt deviné les bénéfices qu’il pourrait retirer pour sa carrière en aidant ce chef de guerre criblé de dettes. L’appuyant financièrement, il va permettre au nobliau de se hisser au rang de Duc de Wurtemberg et devenir son conseiller privilégié. Mais accusé de commerce sexuel avec des chrétiens, il sera pendu en place publique .


 Analyse 


   Voici quelques passages du texte original de Lion Feuchtwanger. Ces extraits démontre bien que a l'inverse du film de propagande nazi, Lion feuchtwanger voulait déplorer la condition juive et la faire connaitre de tous.

"... tous l'avaient dans le sang, au plus intime de leur sentiment : la profonde, secrète et sûre conscience que le pouvoir n'avait aucun sens, aucune constance, aucune valeur.

Ils avaient été si longtemps petits et faibles parmi les peuples de la terre, nains, ridicules atomes épars? Ils savaient qu'exercer ou subir le pouvoir n'a pas de réalité, n'a pas d'importance.

 Les colosses du pouvoir ne s'effondrent-ils pas l'un après l'autre ? Mais eux, les sans pouvoir, ils avaient donné son visage au monde. 

Et ce savoir de la vanité et de l'insignifiance du pouvoir, tous les Juifs le possédaient, qu'ils fussent puissants ou humbles, libres ou dans les chaînes, proches ou éloignés des autres.

 Non en mots nettement formulés, non en notions mesurables, mais inscrit dans leur sang et leurs sentiments. 

C'était ce savoir secret qui amenait soudain sur leur lèvres ce sourire énigmatique, doux et supérieur, dont leurs ennemis s'irritaient doublement, parce que ils l’interprétaient comme une insolence destructrice, et parce que toute leur cruauté et toutes leurs tortures étaient impuissantes devant lui.

 C'était ce savoir secret qui unissait les Juifs et les fondait ensemble, et rien d'autre? Car en lui résidait le sens du Livre.

 Du Livre, oui, de leur Livre. Ils n'avaient pas d'Etat qui les rassemblât, pas de pays, pas de terre, pas de roi, pas de forme de vie commune. Si, pourtant , ils étaient un, plus un que tous les autres peuples du monde, c'était le Livre qui les amalgamait. 

Qu'ils fussent bruns, blancs, noirs ou jaunes, grands ou petits, magnifiques ou en haillons, athées ou pieux, qu'ils restassent toute leur vie dans une pèce tranquille ou courussent le monde dans un tourbillon doré et bariolé, tous au fond d'eux-même, portaient l'enseignement du Livre. 

Divers est le monde, mais il est vanité et poursuite du vent ; un et unique, cependant , est le Dieu d'Israël, Celui qui est au-dessus de toute chose, Adonaï. Parfois, bien spur, la vie, comme de mauvaises herbes, étouffaient cettte Parole, mais elle est restée ancrée en chacun d'eux ; aux heures où ils devenaient eux-même, ou leurs vie arrivait à son sommet, elle était là ; et quand ils mouraient, elle était là ; et ce qui coulait à flots de l'un a l'autre, c'était cette Parole. 

Nous n'avons rien que le Livre."
                                               
Lion Feuchtwanger, "Le Juif Süss" .   


      Dans cet extrait, L'auteur nous dit clairement que depuis longtemps, les juifs ont été estimé comme faibles, et impuissant. Ils nous dit aussi que pour les juifs, le pouvoir "n'avait aucun sens, aucune constance, aucune valeur", et que c'est çà qui les rend aussi "arrogant" aux yeux du monde. Parce que ils avaient compris que la course a la hiérarchie était inutile, et qu'il fesait preuve d'une grande lucidité, le monde leurs en voulaient. C'est à cause de cette intelligence que les juifs se font sans cesse martyrisé, "torturé". Mais l'auteur écrit aussi que si les juifs ont su rester ensemble, même si ils n'avaient "pas de pays, pas de rois, pas de vie commune", c'est parce que ils s'accrochaient a quelque chose : le Livre. (en réalité la Thora, bible des Juifs),  Nous voyons bien ici que la volonté de cette écrit est de parler de la condition des Juifs mais à partir d'un témoignage réel, qui n'engendre donc aucun propos raciste, ou antisémite. C'est la que la grande différence est marqués entre le livre original et le film ; C'est que le film, dénature totalement les propos de Lion Feuchtwanger, et fait de ce livre, une sorte de documentaire Anti-Juifs. Les Allemands ont alors même réussi a transformé la paroles d'un juif, afin bien montré qu'ils pouvaient les humiliés, et même retourné leurs arts contre eux.







           L’engouement et l'importance donnée a ce film par les Nazis fût phénoménale. Plus de 20 millions de vues en Europe dont 10 millions en Allemagne et 1 millions en France. En Allemagne, des séances spéciales sont organisées pour la police, car ce film est présenté comme une sorte de formation quant au comportement des Juifs. Il sera présenté a la "Mostra" de Venis et y recevra le Lion D'or, et son réalisateur, Veit Harlan recevra le prix 1943 de la UFA ( Universum Film AG. créée en 1917 dans un but de propagande politique et militaire. Elle devint ensuite un organisme d'État sous le régime national-socialiste avant d'être dissoute en 1945. Elle avait créé en 1940 la filiale française Continental-Films).







Graphisme, propagande et manipulation.


Un des arts qui a été le plus utilisé en tant que propagande durant le règne nazi, est le graphisme. Plus particulièrement, le graphisme publicitaires, celui qui consiste a créer et penser des affiches qui étaient visible partout dans les endroits public et dans les villes. Ces affiches avaient pour but de persuader, d'endoctriner une population, c'est-à-dire de lui donner  une idée, comme le gouvernement voudrait que elle la voit et pas autrement.  L'attribution de ces affiches appartenait a un ministère dirigé par Goebbels : Le ministère du Reich à l’Éducation du peuple et à la Propagande (Reichsministerium für Volksaufklärung und Propaganda, RMVP, ou tout simplement Propagandaministerium). Il a été créer,en 1933, et avait pour but de dirigé l'ensemble du secteur culturel et des médias et de les mettres au services de la propagande nazi. Il est situé à  Ces affiches portaient le plus souvent sur le même sujet ; Soit elles exaltait la gloire de Hitler, en le représentant de manière totalement idyllique soit elles dénigraient la condition Juives, dans le but de montrer aux peuples les danger que soit disant ils représentaient. 

  (Ministère du Reich à l'Education du peuple et à la Propagande, 1933-1945)


          Nous allons tenté de réaliser une analyse de deux de ces affiches, essayer de montrer en quoi elles sont totalement manipulatrices, et idéologique.



 Affiche de propagande n°1

Sur cette première affiche, nous avons deux éléments importants. Le premier, situé au premier plan, représente un jeune aryens typiquement Allemand. Le deuxième, qui se situe en arrière plan, est Hitler. La couleur est rosâtre, dans les mêmes tons que un levé de soleil. En haut, en noir, est écrit en Allemand, "Jugend vient dem Fürher" (en Français, Jeunesses, vient au meneur).
   Tout d'abord, le jeune Aryens est totalement typique de l'Allemand parfait : jeune, visage angélique, presque parfait, blond yeux surement bleue mais caché par la couleur de l'affiche ... Il est placé devant Hitler et il est beaucoup plus net que lui. Derrière lui, Hitler prend presque toute la place de l'affiche et est comme estompé derrière "sa jeunesse ". Peut-être que il est mis en retrait comme ceci pour montré que la jeunesse aryenne prend la relève vis-à-vis du chef, mais que le chef reste toujours a son poste derrière eux, et les dirigent en prenant toutes la place. Les deux personnages regardent dans la même direction, et ont la même expression de détermination. Ce jeu de regard et d'attitude prouve bien que le but de cette affiche et de montrer que la jeunesse et Hitler peuvent regarder tout les deux dans la même direction, et qu'ils peuvent espérer créer quelque choses tout les deux. Nous voyons ces personnages en contreplongée, c'est a dire que la prise de vue est axé de bas vers le haut. Ce type de vue accentue l'effet de supériorité que l'on ressens lorsque l'on regarde cette affiche. Les couleurs, qui sont donc très proche des couleurs d'un levé de soleil, sont peut être justement choisis pour rappeler ce moment important de la journée. C'est le moment qui apporte de la lumière, qui sort le monde de la pénombre et de la nuit. Hitler est alors ainsi représenté comme le soleil qui se lèvre, regarde à l'horizon et vient apporter la lumière sur le peuple, grâce à lui et a sa jeunesse.

Point Historique : Hitler avait de l'ambition quand a ses jeunes, qu'il faisait appeler "Jeunesse Hitlerienne". Il prétendait que les jeunes Allemand devaient être athlétique, en parfaite santé, intelligent, et habile, afin de devenir de courageux soldats pour défendre dignement l'Allemagne. Il était entrain de créer une armée élevée avec ses idées et ses pensées.




Sur cette deuxième image, nous avons trois facteurs important. Le plus imposant, est situé au premier plan : il s'agit de Hitler. Au second plan, nous pouvons observer une armée, portant le symbole nazi, la crois gammé. Au dernier plan, nous apercevons l'aigle, symbole de l'Allemagne, volant au dessus de tous. 
      Ici, Hitler affiche une expressions de détermination très forte. Il a l'air très sur de lui, et sans crainte, sans peur. Il porte son regard comme si ils nous regardaient dans les yeux et nous demandaient de le suivre. C'est une sorte d’apostrophe a la personne qui va regarder cette affiche. Il brandit un grand drapeau imprimé de la croix gammé de la main gauche, et sert fort son poing droit, comme pour exprimer sa volonté et sa ténacité. L'armée qui est placé derrière lui,est infinie et tout les humains qui l'a composent se ressemblent. C'est la déshumanisation qui nous apparaît ici : tout les êtres sont identiques, il n'y a plus d'identité, et leurs seuls rôle est d'aller combattre et de défendre la nation. Tous les soldats semblent determinés, certain lèvent même les bras, signifiant qu'ils suivent Hitler de leurs plein gré et qu'ils sont d'accord avec ses idées. L'aigle, qui est situé au dessus de la tête d'Hitler, nous apparaît comme si il descendait tout droit du ciel, et est entouré d'un halo lumineux. Cet mise en valeur de l'aigle fait fortement pensé a une apparition divine, comme un dieux qui descendrait du ciel. Cette  représentation d'Hitler et de l'aigle annonce donc que le seul dieu, et la seul idée que la patrie Allemande et que ses combattants doivent suivrent, c'est Hitler. Tout dans cette affiche est imposant, impressionnant, hyperbolisé : que ce soit l'expression et la carrure d'Hitler, l'immense armée nazi, ou l'aigle descendant du ciel. Cette affiche à pour but de montrer aux populations Allemande que Hitler est capable d’emmener ses troupes vers la victoire, et que seul lui peut y arriver. 


     L'illustrateur du parti nazi le plus connus, s'appelle Théo Matejko. Après son adhésion au Parti National-Socialiste en 1933, il devint un des dessinateurs officiels de la propagande nazi.

  ( Théo Matejko, illustrateur nazi le plus connu, 1893-1946)

      

  C'est toujours en exagérant, et en étoffant la réalité que Joseph Goebbels et ses artistes arrivent à créer des affiches de propagande. Hitler y est sans cesse représenté comme le plus imposant, et le plus important personnages. C'est avec les couleurs, la position des différents éléments d'une image que cet art aura été d'une importance capital, car toutes la population avait accès a cette forme d'information. La manipulation des populations qui fût mis en place  sera très efficace, car   beaucoup de ces images auront surement changé les mentalités a propos des Juifs et de Hitler.

L'art dégeneré, la censure des autres courants artistiques.


Nous avons jusqu'à présent, évoquer les arts les plus utilisés dans l'Art Officiel Nazi. Mais qu'en est-t-il des autres mouvement artistiques en dehors de cet Art Officiel ? Et bien ils étaient censurés, étouffés, car trop moderne, ou trop provoquant pour Hitler, qui lui ne jurait que par un goût artistique Classique. Et ces autres courants artistiques, les nazi les regroupaient dans un genre qu'ils appellaient, "l'Art Dégénéré". Nous allons donc d'abord tenter de définir l'Art dégénéré, puis, d'en trouver quels sont les critères.






A) Définition.


       l'Art Dégénéré (en Allemand, Entartete Kunst), est l'expression et la plateforme utilisé par le régime nazi pour définir, et interdire les autres courants artistiques trop moderne et différent de l'art officiel nazi (l'Art Héroïque). Cette différence se base surtout sur une théorie racial. En effet, pour eux, les artistes de race pure on créer des oeuvres racial pure, donc accepté par le régime Nazi. En revanche, les artistes de races impures, on produit des oeuvres qui étaient dites dégénérés. Cette censure à d'abord été appliqués aux arts plastiques, mais très vites, elle à touché le cinéma, et même la musique, comme le swing, était dégénéré. Etrangement, l'idée de "dégénérescence" a été à l'origine d'un intellectuel Juif, Max Nordau. En disant dégénérescence, il parlait surtout de psychologie et de physionomies, car il était médecin et travaillait sur son aspects médical.


      C'est Joseph Goebbels, chef de la propagande du Reich qui fût le premier nazi à emprunter ce terme. Pour lui, il est important de "purifier la culture Allemande". Tout l'art moderne en principe était condamné, et des rafles d'oeuvres furent organisées dans différents musées Allemands. On estime qu'environ 5000 peinture, scultpures, dessin etc... détruit, sur ordre de Goebbels à la veille de la guerre.
      


  (Max Nordau, Intellectuel Juif, 1849-1823)






         C'est ainsi que nous avons pu définir l'art dégénéré, comme une censure qui touche tous les mouvements artistique modernes, provoquant, ou critiquant la politiques et ses actions. La suite de notre travail va donc être de présenter les mouvements artistiques touchés par cette censure. 

Les différents courants artistiques dits "dégénérés".

         Après avoir défini le concept d'Art Dégénéré, nous allons maintenant étudier quels ont été les mouvements définis comme tels. Ces mouvements sont donc dit "Moderne" et ont participez a la révolution des arts de leurs temps. Nous allons étudié trois de ces mouvements qui on sucité dégoût auprès des nazis, 



Le Dadaïsme : Le Dadaïsme est un mouvement intellectuel, artistique et littéraire apparu en 1916 à Zurich autour du Roumain Tristan Tzara. Il rejette la politique, l'art et la littérature, et adopte une attitude révolutionnaire. Les artiste Dadaïste ne croient en rien et tournent tout en dérision. Le mot d'ordre du Dadaïsme est : extravagance, humour, dérision. Le but est de ce débarasser de toutes ces "vieilleries" du passé, et de créer avec toutes sorte de matériaux et formes. A partir de 1920 en France, le Dadaïsme s'éssoufle pour laisser place au Surréalisme. Ce sera durant une soirée, nommée la "Soirée Dada" organisé le 6 juillet 1923, que la rupture entre Dadaïsme et Surréalisme Sera Marqué. 


 (Tristan Tzara, Père fondateur du mouvement culturel et littéraire du Dadaïsme.1896-1963)

Un vidéo de Tristan Tzara qui parle du Dadaïsme  : http://www.ina.fr/fresques/europe-des-cultures-fr/fiche-media/Europe00022?video=Europe00022
(Source : Ina ).




Une oeuvre Dadaïste :              ("Remember Uncle August, the Unhappy Inventor" (rappellez vous l'oncle August, le malheureux inventeur) Par Goerge Grosz, artiste peintre Allemand 1893-1959)


Une oeuvre littéraire Dadaïste écrite par André Breton  : 


Le Verbe Etre.


Je connais le désespoir dans ses grandes lignes. Le désespoir n'a pas d'ailes, il ne se tient pas nécessairement à une table desservie sur une terrasse, le soir, au bord de la mer. C'est le désespoir et ce n'est pas le retour d'une quantité de petits faits comme des graines qui quittent à la nuit tombante un sillon pour un autre. Ce n'est pas la mousse sur une pierre ou le verre à boire. C'est un bateau criblé de neige, si vous voulez, comme les oiseaux qui tombent et leur sang n'a pas la moindre épaisseur. Je connais le désespoir dans ses grandes lignes. Une forme très petite, délimitée par un bijou de cheveux. C'est le désespoir. Un collier de perles pour lequel on ne saurait trouver de fermoir et dont l'existence ne tient pas même à un fil, voilà le désespoir. Le reste, nous n'en parlons pas. Nous n'avons pas fini de deséspérer, si nous commençons. Moi je désespère de l'abat-jour vers quatre heures, je désespère de l'éventail vers minuit, je désespère de la cigarette des condamnés. Je connais le désespoir dans ses grandes lignes. Le désespoir n'a pas de coeur, la main reste toujours au désespoir hors d'haleine, au désespoir dont les glaces ne nous disent jamais s'il est mort. Je vis de ce désespoir qui m'enchante. J'aime cette mouche bleue qui vole dans le ciel à l'heure où les étoiles chantonnent. Je connais dans ses grandes lignes le désespoir aux longs étonnements grêles, le désespoir de la fierté, le désespoir de la colère. Je me lève chaque jour comme tout le monde et je détends les bras sur un papier à fleurs, je ne me souviens de rien, et c'est toujours avec désespoir que je découvre les beaux arbres déracinés de la nuit. L'air de la chambre est beau comme des baguettes de tambour. Il fait un temps de temps. Je connais le désespoir dans ses grandes lignes. C'est comme le vent du rideau qui me tend la perche. A-t-on idée d'un désespoir pareil! Au feu! Ah! ils vont encore venir... Et les annonces de journal, et les réclames lumineuses le long du canal. Tas de sable, espèce de tas de sable! Dans ses grandes lignes le désespoir n'a pas d'importance. C'est une corvée d'arbres qui va encore faire une forêt, c'est une corvée d'étoiles qui va encore faire un jour de moins, c'est une corvée de jours de moins qui va encore faire ma vie.
André Breton

une citation Dadaïste :
  « Vous aussi, bel homme, jolie femme, vous êtes dada, seulement vous ne le savez pas. Demain dada aura un visage différent d'aujourd'hui et pour cette raison sera dada. Dada, c'est la vie. »
    Jean Arp. (Peintre, sculpteur et poète Français. 1886-1966)








Le Cubisme : Le Cubisme est un mouvement artistique qui est apparu en 1907 en France, et dont les pères fondateurs sont Picasso et georges Braque. C'est surement un des mouvements les plus importants de l'art moderne, car il a complètement bouleverser la vision et la représentation dans l'art. Ce qui compte dans le Cubisme, c'est le volume. Le mot "Cubisme" provient de Henri-Matisse qui, lorsque il parla d'une oeuvre de Braque, utilisa le terme de "petits cubes". La phrase qui est souvent employer afin de justifier le Cubisme, provient dune lettre écrite par Cézanne (artiste peintre francais, 1839-1906)  pour Emile Bernard (Poète Francais, 1868-1941) en 1904 : " Traitez la nature par le cylindre, la sphère, le cône, le tout mis en perspective, soit que chaque côté d'un objet, d'un plan, se dirige vers un point central. " C'est dans cette phrase que le Cubisme a pris sa source.


 (Pablo Picasso, un des pères fondateurs du Cubisme 1881-1973.

(Georges Braque, un des pères fondateurs du Cubisme,1882-1963)

Une Oeuvre Cubiste : 

 ("Les demoiselles d'Avignon", 1907, Pablo Picasso. Cette peinture à été considéré comme la première vrai oeuvre Cubiste.)











   L'impressionnisme :  l'Impressionnisme est un mouvement pictural Français qui a débutée de 1874. C'est le mouvement qui va marquer la rupture entre l'art moderne et l'Académisme. C'est Camille Corot qui a son insu, va être désigné comme père fondateur de ce mouvement . L’impressionnisme, à l'inverse du Cubisme, se caractérise par une notion d'impression fugitives, de mobilité. On prône Le mouvement, on donne une impression plutôt que de jouer sur l'aspect stable et immobile des choses. Les peintres impressionnistes choisissent des paysages, des endroits de la vie quotidienne ou ils puisent leurs sujets, puis, les recrées, les repeignent en y mettant leurs sensibilité personnelle. Les grands artistes de ce mouvement sont Claude Monet (Peintre Français impressionniste 1840-1926), ou bien Edgar Degas ( peintre Français impressionniste1834-1917).



     (Camille Corot, Désigné comme père fondateur d' l'Impressionnisme 1796-1875.)


Une oeuvre Impressionniste : 

 Fichier:Claude Monet - Water-Lilies (Bridgestone Museum).jpg ("Water Lilies", extrait d'une série de peinture réalisé par Claude Monet en 1907).







  Voila donc 3 des mouvements culturel, intellectuel et littéraire qui on été jugé comme étant "Dégénéré" par le régime nazi et par Goebbels tout particulièrement. C'est par leurs modernité et leur avant-gardisme, que ces mouvements on changé l'Histoire de l'Art. Pour la plupart d'entre eux, ils on marqués une rupture importante avec le Classique, ou l'Académisme. Ce qui fait leurs 
   

L'exposition des "Arts Dégénérés".

Présentation. 

       De Juin à Novembre 1937, les nazis organisèrent à Munich, une grande exposition réunissant un énorme lot d'oeuvres dites "dégénérées", suites aux diverses rafles réalisées dans les musées Allemands. Elle se situe dans la nouvelle Maison de l'Art Allemand.Comme nous l'avons vus avant, Le goût artistique d'Hitler est portées sur le Classicisme, et l'Académisme. Organisé par Joseph Goebbels, elle contenait plus de 730 oeuvres d'une centaines d'artistes, choisis parmis plus de 20 000 productions saisies. Parmis ces artistes, les plus grands nom Allemands, comme Nodle, ou étranger, comme Picasso . Entre les oeuvres des dessins et créations de malades mentaux était placés, dans le but de montrer aux visiteurs la "parenté" entres ces deux types d'artistes. A côté de chaque oeuvre présenté, des commentaires méprisant figurait. On pouvait même y lire des citations de certains artistes sorties de leurs contexte, afin de les rendrent gratuitement choquantes. La mise en scène de cette exposition avait pour but de provoquer immédiatement le dégout et le rejet chez le visiteurs.
           Le succès de cette exposition est immense. Plus de deux millions de visiteurs se précipitent dans les sept salles de l'exposition d' « art dégénéré » du premier étage et les deux du rez-de-chaussée, où ils découvrent les chefs d'oeuvre de l'avant-garde internationale. On dit même que la file s'étendait jusque sur les trottoirs. 


L'Organisation d'un tel évènement.

Le 30 juin 1937, Goebbels publie un décret autorisant un comité de cinq membres placé sous la direction de Ziegler, à confisquer des œuvres dans différents musées allemands en vue d'organiser une exposition d'«art dégénéré» à Munich, qui doit avoir lieu en même temps que la «grande exposition d'art allemand» prévue pour l'inauguration de la Maison de l'Art allemand. Adolf Ziegler, qui est depuis 1936 président de la Chambre des Beaux-Arts du Reich semble le mieux placé pour organiser les expositions de Munich. En effet, étant l'un des artistes préférés d'Hitler, il connaît les exigeances du Reich quand à la séléction des oeuvres pour cette exposition.Ziegler s'entoure du comte Klaus von Baudissin, officier SS, directeur du musée Folkwang de Essen. Von Baudissin a pour tâche de sélectionner les œuvres d'« art dégénéré » aux côtés de Ziegler.



La séléction des oeuvres.

Dans les deux premières semaines de juillet 1937, Paul Ortwin Rave, directeur de la Nationalgalerie de Berlin, envoie à Munich environ 700 œuvres provenant de 32 musées allemands et de 28 villes différentes


Rapidement installées dans l'ancien Institut d'Archéologie, les œuvres confisquées sont regroupées par thème dans neuf salles : salle 1 la religion, salle 2 l'art juif, salle 3 la femme, la famille, la paysannerie, salle 4 la dégénérescence, salle 5 l'anarchisme, salle 6 et 7 la folie.



 (Goebbels visitant l'exposition, 1937)
















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 (Adolf Hitler, Adolf Ziegler, et Joseph Goebbels à l'ouvertue de l'exposition des Arts Dégénérés en Juin 1937)




       Cette exposition fut un des évènements artistiques les plus importants de cette période d'avant-guerre. Elle a rassembler un énormément de gens, et à eu de l'impact sur beaucoup d'entre eux. C'est ainsi que les nazis était capable d'irrespect envers les artistes du monde entier, mais d'en plus arriver a faire croire que c'était juste et bien .

samedi 10 mars 2012

Bibliographie et Sitographie.

     

Voici la liste des sites et des livres que nous avons consultés durant nos recherches :


Sitographie :


-Wikipédia
-Artdegeneres.free.fr
-Impressionnisme.net
-passion-estampes.com
-philophil.com
-espritnomade.com
-le-dadaïsme.com
-etudes-litteraires.com
-le-cubisme.com
-discipline.free.fr/cubisme.htm
-faisceau.com
-histoiredelart.net
-grandspeintres.com
-officieldesarts.com
-babelio.com
-lepoint.fr
-dailymotion.fr
-topito.com
-propagande-2eme-guerremondiale.e-monsite.com
-lesimagesdesdictateurs.centerblog.net
-ushmm.net
-planetenonviolence.org
-propagande-par-le-cinema.over-blog.com
-alliance.fr
-art-mémoires.com
-ina.fr
-cle.ens-lyon.fr
-universalis.fr
-lewebpedagogique.com




Bibliographie :


-"Joseph Goebbels Journal 1943-1945" , par Joseph Goebbels, édition Tallandier.


-"Au coeur du Troisième Reich" par Albert Speer, édition Fayard.


-"Le Juif Süss", par Lion Feuchtwanger, édition Belfond.